Le secrétaire général d'Al-Massar, Ahmed Brahim, a confirmé son intention de ne pas briguer le poste de numéro 1 du parti qui tient son congrès national constitutif, à Hammamet, les 20, 21 et 22 juin.
"Maintenant que j'estime avoir rempli pleinement ma mission, il est temps que de nouveaux dirigeants émergent et prennent le relais, dans la tradition démocratique de toutes les structures du parti et en consécration du projet démocratique de notre pays", a-t-il déclaré à l'agence TAP, en marge de la séance d'ouverture du congrès.
Selon le porte-parole officiel d'Al-Massar, Samir Taieb, "le congrès va étudier les mécanismes d'alliance envisageables en procédant à une nouvelle lecture du paysage politique et des orientations internes propres au parti".
Il n'a pas écarté la conclusion de nouvelles alliances avec des forces démocratiques autres que celles de l'Union pour la Tunisie. Il n'a pas nié, non plus, son intention de se porter candidat au poste de secrétaire général, précisant que l'étape suivante dans la vie du parti consistera à fixer la ligne politique et les critères d'alliance avec d'autres formations, sans compter les préparatifs des prochaines échéances politiques nationales.
A la question de savoir comment il perçoit la décision annoncée par le Mouvement Nida Tounes de présenter ses propres listes et sous sa propre bannière aux prochaines élections législatives, le dirigeant et membre du bureau exécutif d'Al Massar, Jounaidi Abdeljaoued, s'est dit étonné par cette décision qu'il a qualifiée de "surprise".
D'après lui, son parti "s'en tient encore à la Déclaration fondatrice de l'Union pour la Tunisie qui fait référence à la construction d'un Etat civil, garant des libertés et des droits fondamentaux".
Un certain nombre de partis se sont fait représenter à la séance d'ouverture du congrès. Par contre, les trois partis de la "Troika", à savoir Ennahdha, Ettakatol et le CPR, n'y ont pas été invités. Une des dirigeantes d'Al-Massar, Salma Baccar, l'a confirmé, expliquant que cela avait été décidé, "à la demande des bases du parti".
"Maintenant que j'estime avoir rempli pleinement ma mission, il est temps que de nouveaux dirigeants émergent et prennent le relais, dans la tradition démocratique de toutes les structures du parti et en consécration du projet démocratique de notre pays", a-t-il déclaré à l'agence TAP, en marge de la séance d'ouverture du congrès.
Selon le porte-parole officiel d'Al-Massar, Samir Taieb, "le congrès va étudier les mécanismes d'alliance envisageables en procédant à une nouvelle lecture du paysage politique et des orientations internes propres au parti".
Il n'a pas écarté la conclusion de nouvelles alliances avec des forces démocratiques autres que celles de l'Union pour la Tunisie. Il n'a pas nié, non plus, son intention de se porter candidat au poste de secrétaire général, précisant que l'étape suivante dans la vie du parti consistera à fixer la ligne politique et les critères d'alliance avec d'autres formations, sans compter les préparatifs des prochaines échéances politiques nationales.
A la question de savoir comment il perçoit la décision annoncée par le Mouvement Nida Tounes de présenter ses propres listes et sous sa propre bannière aux prochaines élections législatives, le dirigeant et membre du bureau exécutif d'Al Massar, Jounaidi Abdeljaoued, s'est dit étonné par cette décision qu'il a qualifiée de "surprise".
D'après lui, son parti "s'en tient encore à la Déclaration fondatrice de l'Union pour la Tunisie qui fait référence à la construction d'un Etat civil, garant des libertés et des droits fondamentaux".
Un certain nombre de partis se sont fait représenter à la séance d'ouverture du congrès. Par contre, les trois partis de la "Troika", à savoir Ennahdha, Ettakatol et le CPR, n'y ont pas été invités. Une des dirigeantes d'Al-Massar, Salma Baccar, l'a confirmé, expliquant que cela avait été décidé, "à la demande des bases du parti".
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