La diffusion de l'émission "Nessma investigation" sur Slim Riahi, homme d'affaires et candidat à la présidentielle, a fait couler beaucoup d'encre. Ce reportage à charge était construit sur le témoignages de citoyens accusant Slim Riahi de ne pas avoir tenu ses "promesses électorales" .
Après la multiplication des accusations de part et d'autre, Slim Riahi a répondu à ses détracteurs dans l'émission "Labes" de Naoufel Ouertani.
"Nessma TV est le bras médiatique de Béji Caïd Essebsi et de Nida Tounes", a accusé à son tour l'homme d'affaires.
"L'investigation dont parle Nessma se limite à des téléchargements de vidéos Youtube et cela s'est passé pendant la campagne électorale de 2011", a-t-il déclaré.
Slim Riahi est revenu sur l'affaire de Loujein, la petite fille atteinte d'un cancer et décédée des suites de sa maladie. La chaîne de télévision, par le biais des témoignages de la famille et des commentaires exprimés sur le plateau de l'émission, accusait le candidat à la présidentielle d'être responsable de ce décès.
Le président de l'Union patriotique libre (UPL) a également tenté de justifier les retards constatés dans les projets dont il avait annoncé la réalisation prochaine, notamment à Siliana et à Zaghouan. Selon lui, les autorités en place ou encore la situation sécuritaire et politique instable ont été autant de facteurs ayant ralenti la mise en place effective de ces projets.
"Les personnes interrogées sont affiliées à Nida Tounes, ils ont fait un casting. Ce n'est pas logique, lorsque l'on fait une investigation, d'aller dans un café au lieu d'aller au gouvernorat ou aux ministères pour prendre connaissance des dossiers", a-t-il accusé.
Et Nida Tounes a effectivement été la cible privilégiée de Slim Riahi durant l'interview menée par Naoufel Ouertani. "Béji Caïd Essebsi dit ne pas vous connaître et qu'a Paris vous êtes simplement venu pour prendre une photo avec lui", interpelle ce dernier. "Oui, bien sûr, je me suis rendu à Paris pour faire un selfie avec Monsieur Béji! Soyons sérieux!", a ironisé Slim Riahi.
L'homme d'affaires a accusé Nida Tounes et Ennahdha de tromper leurs électeurs, insinuant que les deux principales formations politiques s'allieraient après les élections. "Tu votes pour Ennahdha tu te retrouves avec Nida Tounes, tu votes Nida Tounes tu te retrouves avec Ennahdha", a-t-il soutenu.
Slim Riahi a enfin déclaré que, contrairement à Ettakatol et au CPR en 2011, son parti n'accepterait pas de prendre quelques ministères secondaires dans le cadre d'une alliance gouvernementale, sans pouvoir appliquer son "programme" et ses "engagements": "Nous ne pourrons entrer dans aucune alliance si nous n'avons pas la présidence du gouvernement. Ceux qui voudront faire alliance avec nous sont les bienvenus".
Après la multiplication des accusations de part et d'autre, Slim Riahi a répondu à ses détracteurs dans l'émission "Labes" de Naoufel Ouertani.
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"Nessma TV est le bras médiatique de Béji Caïd Essebsi et de Nida Tounes", a accusé à son tour l'homme d'affaires.
"L'investigation dont parle Nessma se limite à des téléchargements de vidéos Youtube et cela s'est passé pendant la campagne électorale de 2011", a-t-il déclaré.
Slim Riahi est revenu sur l'affaire de Loujein, la petite fille atteinte d'un cancer et décédée des suites de sa maladie. La chaîne de télévision, par le biais des témoignages de la famille et des commentaires exprimés sur le plateau de l'émission, accusait le candidat à la présidentielle d'être responsable de ce décès.
"J'ai découvert cette affaire en 2011 dans une vidéo diffusée par Nawaat", a assuré l'intéressé. "Je n'ai jamais vu le père de la fille, lui même le dit (...) Je n'ai donné aucune procuration pour que l'on parle à ma place. (...) Je m'occupe personnellement des affaires que je prends en charge. C'est moi qui choisis les personnes que je veux aider, quand même", s'est-il justifié.
Le président de l'Union patriotique libre (UPL) a également tenté de justifier les retards constatés dans les projets dont il avait annoncé la réalisation prochaine, notamment à Siliana et à Zaghouan. Selon lui, les autorités en place ou encore la situation sécuritaire et politique instable ont été autant de facteurs ayant ralenti la mise en place effective de ces projets.
"Les personnes interrogées sont affiliées à Nida Tounes, ils ont fait un casting. Ce n'est pas logique, lorsque l'on fait une investigation, d'aller dans un café au lieu d'aller au gouvernorat ou aux ministères pour prendre connaissance des dossiers", a-t-il accusé.
Et Nida Tounes a effectivement été la cible privilégiée de Slim Riahi durant l'interview menée par Naoufel Ouertani. "Béji Caïd Essebsi dit ne pas vous connaître et qu'a Paris vous êtes simplement venu pour prendre une photo avec lui", interpelle ce dernier. "Oui, bien sûr, je me suis rendu à Paris pour faire un selfie avec Monsieur Béji! Soyons sérieux!", a ironisé Slim Riahi.
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L'homme d'affaires a accusé Nida Tounes et Ennahdha de tromper leurs électeurs, insinuant que les deux principales formations politiques s'allieraient après les élections. "Tu votes pour Ennahdha tu te retrouves avec Nida Tounes, tu votes Nida Tounes tu te retrouves avec Ennahdha", a-t-il soutenu.
Slim Riahi a enfin déclaré que, contrairement à Ettakatol et au CPR en 2011, son parti n'accepterait pas de prendre quelques ministères secondaires dans le cadre d'une alliance gouvernementale, sans pouvoir appliquer son "programme" et ses "engagements": "Nous ne pourrons entrer dans aucune alliance si nous n'avons pas la présidence du gouvernement. Ceux qui voudront faire alliance avec nous sont les bienvenus".
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