Le Syndicat des magistrats tunisiens (SMT) a affirmé son soutien total au juge Ahmed Souab, regrettant le refus de sa nomination au poste d'adjoint du premier président du Tribunal Administratif (TA) par l'Association des magistrats tunisiens (AMT).
Le Syndicat a accusé l'AMT de "chercher à diviser et à déstabiliser le processus électoral, dans le but de mettre en cause toute l'opération électorale".
Dans une déclaration publiée samedi, le SMT a estimé que la contestation des fondements juridiques et objectifs de la nomination de Souab était "un appel à la discorde".
Le syndicat s'est dit prêt à engager toute forme d'action visant à défendre la profession et à consacrer la primauté de la loi. Il a appelé à la création d'une cellule de crise entre le SMT et l'Union des magistrats administratifs (UMA) pour suivre ce dossier.
L'UMA avait apporté son soutien à Ahmed Souab vendredi, accusant également l'AMT "de porter atteinte au processus électoral et d'entamer la crédibilité du tribunal administratif".
Réuni samedi, le Conseil national de l'AMT a répondu à ces accusations, en mettant en garde contre toute tentative d'exercer des pressions à son encontre en raison de son refus de la nomination d'Ahmed Souab.
Dans son communiqué, l'Association des magistrats a lancé un appel à la vigilance adressé à "la société civile" pour renforcer le rôle de contrôle des magistrats pendant les élections.
L'AMT a également insisté sur la nécessité de préserver la neutralité de l'administration et des espaces religieux et médiatiques ainsi que l'ensemble des structures de l'Etat.
LIRE AUSSI: La nomination du juge Ahmed Souab au tribunal administratif fait polémique
Le Syndicat a accusé l'AMT de "chercher à diviser et à déstabiliser le processus électoral, dans le but de mettre en cause toute l'opération électorale".
Dans une déclaration publiée samedi, le SMT a estimé que la contestation des fondements juridiques et objectifs de la nomination de Souab était "un appel à la discorde".
Le syndicat s'est dit prêt à engager toute forme d'action visant à défendre la profession et à consacrer la primauté de la loi. Il a appelé à la création d'une cellule de crise entre le SMT et l'Union des magistrats administratifs (UMA) pour suivre ce dossier.
L'UMA avait apporté son soutien à Ahmed Souab vendredi, accusant également l'AMT "de porter atteinte au processus électoral et d'entamer la crédibilité du tribunal administratif".
Réuni samedi, le Conseil national de l'AMT a répondu à ces accusations, en mettant en garde contre toute tentative d'exercer des pressions à son encontre en raison de son refus de la nomination d'Ahmed Souab.
Dans son communiqué, l'Association des magistrats a lancé un appel à la vigilance adressé à "la société civile" pour renforcer le rôle de contrôle des magistrats pendant les élections.
L'AMT a également insisté sur la nécessité de préserver la neutralité de l'administration et des espaces religieux et médiatiques ainsi que l'ensemble des structures de l'Etat.
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