L'armée tunisienne s'est dite mardi sur le qui-vive et prête pour parer à un acte "terroriste" lors des législatives de dimanche, cruciales, avec la présidentielle, pour la stabilité du pays qui a vu un essor de groupes jihadistes depuis la révolution.
"Le danger existe, on ne peut pas le nier, il y a des éléments terroristes et c'est sûr qu'ils planifient quelque chose", a-t-il ajouté.
Selon M. Weslati, "toute l'armée" sera déployée durant la période des élections et assurera le transfert des urnes des bureaux de vote aux centres de tri.
Il a refusé de chiffrer le nombre d'hommes déployés. L'Institut international des études stratégiques estime à près de 36.000 le nombre de militaires tunisiens.
Le ministre de l'Intérieur Lotfi Ben Jeddou a de son côté affirmé lundi à la radio Shems FM que "des attentats, des explosions visant des usines, et des opérations visant des ambassadeurs ont été déjoués".
Il n'a apporté aucune précision supplémentaire, alors que son ministère a prévu de déployer quelque 50.000 policiers et gendarmes le jour du vote.
Environ 20.000 sont déjà sur le pied le guerre.
Quelque 1.300 listes composées de 13.000 candidats réparties sur 33 circonscriptions sont en concurrence pour les 217 sièges du futur Parlement tunisien lors des élections de dimanche.
Avec la présidentielle du 23 novembre, ces élections sont cruciales pour bâtir des institutions démocratiques pérennes, près de quatre ans après la révolution.
"Depuis plus d'un mois, nous avons renforcé nos forces en prévision de tout imprévu, nous avons paré à toutes les possibilités", a indiqué à la presse Belhassen Weslati, porte-parole du ministère de la Défense.
"Le danger existe, on ne peut pas le nier, il y a des éléments terroristes et c'est sûr qu'ils planifient quelque chose", a-t-il ajouté.
Selon M. Weslati, "toute l'armée" sera déployée durant la période des élections et assurera le transfert des urnes des bureaux de vote aux centres de tri.
Il a refusé de chiffrer le nombre d'hommes déployés. L'Institut international des études stratégiques estime à près de 36.000 le nombre de militaires tunisiens.
Le ministre de l'Intérieur Lotfi Ben Jeddou a de son côté affirmé lundi à la radio Shems FM que "des attentats, des explosions visant des usines, et des opérations visant des ambassadeurs ont été déjoués".
Il n'a apporté aucune précision supplémentaire, alors que son ministère a prévu de déployer quelque 50.000 policiers et gendarmes le jour du vote.
Environ 20.000 sont déjà sur le pied le guerre.
Quelque 1.300 listes composées de 13.000 candidats réparties sur 33 circonscriptions sont en concurrence pour les 217 sièges du futur Parlement tunisien lors des élections de dimanche.
Avec la présidentielle du 23 novembre, ces élections sont cruciales pour bâtir des institutions démocratiques pérennes, près de quatre ans après la révolution.
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