Elle s'appelle Valentina Ryabova et elle est tatoueuse autodidacte à St. Saint-Pétersbourg, en Russie.
Les œuvres sur les corps de ses clients varient des portraits de leurs bien-aimé(e)s ou membres de leurs familles aux représentations très détaillées d'animaux de compagnie, mais ce n'est pas ce qui fait la spécificité des tatouages de Ryabova.
En observant ses tatouages, on note surtout une maîtrise exceptionnelle de l'hyperréalisme, si intense que ces œuvres ressemblent à des tableaux ou à des photos étrangement saturées. Si les autoportraits de Gustave Courbet avaient été mélangées aux œuvres de Richard Prince, et que le tout avait fini en tatouages, le résultat beau et bizarre à la fois serait celui-ci:
Ses lignes précises et ses ombrages impressionnants la trahissent, Ryabova à étudié les beaux arts. Mais après l'université, elle a réalisé qu'elle ne voulait pas poursuivre une carrière conventionnelle comme designer ou artiste de studio. Elle s'est plutôt achetée son propre équipement de tatouage et a entamé une carrière "self-made". Il est difficile à croire qu'elle ne fait des tatouages que depuis fin 2012.
"Je n'aime pas dessiner de nombreux croquis pour un seul travail", explique-t-elle dans une interview, "je préfère improviser, mais j'utilise des photos comme références". Son talent sera exposé au "Tattoo & Rock Festival" à Lisbonne ce mois-ci, mais en attendant, nous avons un aperçu sur son compte Instagram.
Cet article, publié à l'origine sur Le Huffington Post Etats-Unis, a été traduit de l'américain.
Les œuvres sur les corps de ses clients varient des portraits de leurs bien-aimé(e)s ou membres de leurs familles aux représentations très détaillées d'animaux de compagnie, mais ce n'est pas ce qui fait la spécificité des tatouages de Ryabova.
En observant ses tatouages, on note surtout une maîtrise exceptionnelle de l'hyperréalisme, si intense que ces œuvres ressemblent à des tableaux ou à des photos étrangement saturées. Si les autoportraits de Gustave Courbet avaient été mélangées aux œuvres de Richard Prince, et que le tout avait fini en tatouages, le résultat beau et bizarre à la fois serait celui-ci:
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Ses lignes précises et ses ombrages impressionnants la trahissent, Ryabova à étudié les beaux arts. Mais après l'université, elle a réalisé qu'elle ne voulait pas poursuivre une carrière conventionnelle comme designer ou artiste de studio. Elle s'est plutôt achetée son propre équipement de tatouage et a entamé une carrière "self-made". Il est difficile à croire qu'elle ne fait des tatouages que depuis fin 2012.
"Je n'aime pas dessiner de nombreux croquis pour un seul travail", explique-t-elle dans une interview, "je préfère improviser, mais j'utilise des photos comme références". Son talent sera exposé au "Tattoo & Rock Festival" à Lisbonne ce mois-ci, mais en attendant, nous avons un aperçu sur son compte Instagram.
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