Les Etats-Unis n'étaient pas en mesure de confirmer dimanche la présence du leader du groupe Etat islamique parmi les dirigeants jihadistes visés par des raids aériens de la coalition dans le nord de l'Irak.
Alors que des informations relayées samedi par des télévisions arabes donnaient Abou Bakr al-Baghdadi blessé, voire tué, dans ces raids, le Commandement américain pour le Moyen-Orient (Centcom) n'a "pas pu confirmer" si le chef et calife auto-proclamé de Daech était bien présent sur le site des frappes.
Les frappes aériennes de la coalition ont visé une réunion des leaders de Daech à Al Qaim et ont fait des dizaines de morts et de blessés, selon Mohammed Al Karbuli, un député de la région d'Anbar en Irak, à la chaîne d'informations Al Arabiya.
Les membres du groupe Etat Islamique ont ensuite transporté leurs blessés à l'hôpital d'Al Qaim, ajoute la même source.
Mossoul est un des centres névralgiques des jihadistes depuis que la deuxième ville d'Irak est tombée entre leurs mains en juin, au début de l'offensive qui a vu cette organisation extrémiste sunnite s'emparer d'importants secteurs du pays puis décréter un califat à cheval avec la Syrie.
Dans ce dernier pays, c'est le régime qui a mené un raid sur un fief de l'EI dans le nord, tuant au moins 21 civils et faisant une centaine de blessés d'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'armée syrienne a largué samedi soir "sept barils d'explosifs et trois obus" sur Al-Bab, une ville tenue par les jihadistes dans la province d'Alep (nord), selon l'ONG.
Le régime de Bachar al-Assad a évité la confrontation avec l'EI lors de son apparition en Syrie en 2013 mais plusieurs attaques meurtrières des jihadistes contre des bases militaires ont convaincu cet été l'armée de frapper le groupe extrémiste dans ses bastions du nord et de l'est de la Syrie.
Alors que la guerre en Syrie a fait plus de 180.000 morts depuis 2011, l'envoyé spécial de l'ONU Staffan De Mistura se trouve actuellement à Damas pour discuter d'un "plan d'action" visant à relancer les efforts de paix. Il doit notamment rencontrer le président Bachar al-Assad.
Alors que des informations relayées samedi par des télévisions arabes donnaient Abou Bakr al-Baghdadi blessé, voire tué, dans ces raids, le Commandement américain pour le Moyen-Orient (Centcom) n'a "pas pu confirmer" si le chef et calife auto-proclamé de Daech était bien présent sur le site des frappes.
Les frappes aériennes de la coalition ont visé une réunion des leaders de Daech à Al Qaim et ont fait des dizaines de morts et de blessés, selon Mohammed Al Karbuli, un député de la région d'Anbar en Irak, à la chaîne d'informations Al Arabiya.
Les membres du groupe Etat Islamique ont ensuite transporté leurs blessés à l'hôpital d'Al Qaim, ajoute la même source.
Selon le Centcom, "des appareils de la coalition ont conduit (vendredi soir) une série de frappes aériennes en Irak contre ce qui a été estimé être un rassemblement de dirigeants de l'EI près de Mossoul". Ces opérations militaires ont "détruit un convoi de véhicules formés de dix camions armés de l'EI".
Mossoul est un des centres névralgiques des jihadistes depuis que la deuxième ville d'Irak est tombée entre leurs mains en juin, au début de l'offensive qui a vu cette organisation extrémiste sunnite s'emparer d'importants secteurs du pays puis décréter un califat à cheval avec la Syrie.
Dans ce dernier pays, c'est le régime qui a mené un raid sur un fief de l'EI dans le nord, tuant au moins 21 civils et faisant une centaine de blessés d'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'armée syrienne a largué samedi soir "sept barils d'explosifs et trois obus" sur Al-Bab, une ville tenue par les jihadistes dans la province d'Alep (nord), selon l'ONG.
Le régime de Bachar al-Assad a évité la confrontation avec l'EI lors de son apparition en Syrie en 2013 mais plusieurs attaques meurtrières des jihadistes contre des bases militaires ont convaincu cet été l'armée de frapper le groupe extrémiste dans ses bastions du nord et de l'est de la Syrie.
Alors que la guerre en Syrie a fait plus de 180.000 morts depuis 2011, l'envoyé spécial de l'ONU Staffan De Mistura se trouve actuellement à Damas pour discuter d'un "plan d'action" visant à relancer les efforts de paix. Il doit notamment rencontrer le président Bachar al-Assad.
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