Les musulmans auront ce vendredi 14 novembre un accès sans restriction d'âge à l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est pour la grande prière hebdomadaire, pour la première fois depuis longtemps, a indiqué la police israélienne.
La levée de toute restriction d'âge fait suite à une rencontre jeudi en Jordanie entre le secrétaire d'Etat John Kerry et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu au cours de laquelle des "engagements fermes" ont été pris selon le chef de la diplomatie américaine pour faire baisser les tensions à Jérusalem-Est.
Jérusalem-Est, partie palestinienne de la Ville sainte occupée et annexée par Israël, est en proie à de vives tensions. Le statut de l'esplanade des Mosquées catalyse la colère palestinienne, causée par une multitude de facteurs.
L'esplanade et la mosquée Al-Aqsa qui s'y trouvent constituent le troisième lieu saint de l'islam. C'est aussi le site le plus sacré pour les juifs.
Heurts
Les Palestiniens et les musulmans s'inquiètent des revendications de plus en plus pressantes d'une minorité juive extrémiste qui réclame le droit de prier sur l'esplanade. Ils craignent que M. Netanyahu ne cède à la pression bien que ce dernier ait répété n'avoir aucune intention de modifier le statu quo.
L'esplanade a été le théâtre de heurts réguliers entre Palestiniens et policiers israéliens, qui en contrôlent les accès et y pénètrent pour rétablir l'ordre.
Les Palestiniens voient dans ces incursions policières, l'entrée des policiers dans la révérée mosquée Al-Aqsa, les restrictions d'âge fréquentes imposées aux plus jeunes et même la fermeture complète de l'esplanade le 30 octobre (pour la première fois depuis des années) des profanations répétées de la part de la police israélienne.
La levée de toute restriction d'âge fait suite à une rencontre jeudi en Jordanie entre le secrétaire d'Etat John Kerry et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu au cours de laquelle des "engagements fermes" ont été pris selon le chef de la diplomatie américaine pour faire baisser les tensions à Jérusalem-Est.
Jérusalem-Est, partie palestinienne de la Ville sainte occupée et annexée par Israël, est en proie à de vives tensions. Le statut de l'esplanade des Mosquées catalyse la colère palestinienne, causée par une multitude de facteurs.
L'esplanade et la mosquée Al-Aqsa qui s'y trouvent constituent le troisième lieu saint de l'islam. C'est aussi le site le plus sacré pour les juifs.
Heurts
Les Palestiniens et les musulmans s'inquiètent des revendications de plus en plus pressantes d'une minorité juive extrémiste qui réclame le droit de prier sur l'esplanade. Ils craignent que M. Netanyahu ne cède à la pression bien que ce dernier ait répété n'avoir aucune intention de modifier le statu quo.
L'esplanade a été le théâtre de heurts réguliers entre Palestiniens et policiers israéliens, qui en contrôlent les accès et y pénètrent pour rétablir l'ordre.
Les Palestiniens voient dans ces incursions policières, l'entrée des policiers dans la révérée mosquée Al-Aqsa, les restrictions d'âge fréquentes imposées aux plus jeunes et même la fermeture complète de l'esplanade le 30 octobre (pour la première fois depuis des années) des profanations répétées de la part de la police israélienne.
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