La liste des nominations pour les Oscars 2014 a été dévoilée ce jeudi 16 janvier. Deux réalisations arabes y figurent, le film palestinien Omar dans la catégorie du Meilleur film en langue étrangère, et The Square de l’égyptienne Jehane Noujaim dans la catégorie Meilleur documentaire. La 86ème cérémonie des Oscars aura lieu le 2 mars prochain.
Omar, le retour de Hany Abou Assad
Lauréat du Prix “Un certain regard” au Festival de Cannes 2013, Omar, réalisé par Hany Abou Assad est nommé dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère aux côtés de: La Chasse de Thomas Vinterberg (Danemark), Alabama Monroe de Felix Van Groeningen (Belgique), L'image manquante de Rithy Panh (Cambodge) et La grande bellezza, de Paolo Sorrentino (Italie).
Un “équilibre entre cinéma de genre et efficacité” selon Télérama, ou encore le “meilleur thriller de l’année” selon Rue 89, le dernier film de Hany Abou Assad a largement été salué par les critiques. Le réalisateur de Paradise now, peu connu du grand public, marque son retour avec Omar, un film qui replonge dans l'univers complexe du quotidien palestinien. “L’œuvre cinématographique de Hany Abu-Assad peut se lire presque comme un manifeste politique sans discours”, résume la journaliste et écrivaine Rita Bassil sur Orient XI.
Synopsis:
Omar vit en Cisjordanie. Habitué à déjouer les balles des soldats, il franchit quotidiennement le mur qui le sépare de Nadia, la fille de ses rêves et de ses deux amis d'enfance, Tarek et Amjad. Les trois garçons ont décidé de créer leur propre cellule de résistance et sont prêts à passer à l'action. Leur première opération tourne mal.
Capturé par l'armée israélienne, Omar est conduit en prison. Relâché contre la promesse d'une trahison, Omar parviendra-t-il malgré tout à rester fidèle à ses amis, à la femme qu'il aime, à sa cause?
The Square, retour sur un soulèvement
Primé aux festivals de Toronto (prix du meilleur documentaire) et de Sundance 2013 (Prix du public), The Square, de la cinéaste égyptienne Jehane Noujaim est en lice pour l’Oscar du Meilleur documentaire en 2014.
Soif de liberté, espoir et déception, le spectateur est replongé dans les premières manifestations contre le président Hosni Moubarak en janvier 2011 jusqu'à celles contre le président élu Mohamed Morsi en juillet 2013. Toutes dans un seul endroit, la place Tahrir, "Al Maydan".
Omar, le retour de Hany Abou Assad
Lauréat du Prix “Un certain regard” au Festival de Cannes 2013, Omar, réalisé par Hany Abou Assad est nommé dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère aux côtés de: La Chasse de Thomas Vinterberg (Danemark), Alabama Monroe de Felix Van Groeningen (Belgique), L'image manquante de Rithy Panh (Cambodge) et La grande bellezza, de Paolo Sorrentino (Italie).
Un “équilibre entre cinéma de genre et efficacité” selon Télérama, ou encore le “meilleur thriller de l’année” selon Rue 89, le dernier film de Hany Abou Assad a largement été salué par les critiques. Le réalisateur de Paradise now, peu connu du grand public, marque son retour avec Omar, un film qui replonge dans l'univers complexe du quotidien palestinien. “L’œuvre cinématographique de Hany Abu-Assad peut se lire presque comme un manifeste politique sans discours”, résume la journaliste et écrivaine Rita Bassil sur Orient XI.
Synopsis:
Omar vit en Cisjordanie. Habitué à déjouer les balles des soldats, il franchit quotidiennement le mur qui le sépare de Nadia, la fille de ses rêves et de ses deux amis d'enfance, Tarek et Amjad. Les trois garçons ont décidé de créer leur propre cellule de résistance et sont prêts à passer à l'action. Leur première opération tourne mal.
Capturé par l'armée israélienne, Omar est conduit en prison. Relâché contre la promesse d'une trahison, Omar parviendra-t-il malgré tout à rester fidèle à ses amis, à la femme qu'il aime, à sa cause?
The Square, retour sur un soulèvement
Primé aux festivals de Toronto (prix du meilleur documentaire) et de Sundance 2013 (Prix du public), The Square, de la cinéaste égyptienne Jehane Noujaim est en lice pour l’Oscar du Meilleur documentaire en 2014.
Soif de liberté, espoir et déception, le spectateur est replongé dans les premières manifestations contre le président Hosni Moubarak en janvier 2011 jusqu'à celles contre le président élu Mohamed Morsi en juillet 2013. Toutes dans un seul endroit, la place Tahrir, "Al Maydan".