Esmaani, une association d'aide et d'accompagnement des malades, a envoyé des clowns dans les hôpitaux pour aider les patients. Depuis sa création officielle en avril 2011, l'association mène des actions diverses dans l'objectif d'apporter un soutien moral et psychologique aux malades.
Les actions se concentrent dans les hôpitaux de Charles Nicolle, Bab Saadoun-Bechir Hamza, Salah Azaiz et Jendouba. Cela passe souvent par la simple écoute des malades, la participation au bien-être physique (coiffure, rasage,…), l'aide aux démarches administratives, l’organisation d’évènements (ateliers de peinture ou mini concerts). On retiendra les concerts au Palais Abdellia de La Marsa du 2 au 8 septembre 2013.
Cette fois, l'association a choisi de recruter des clowns et de les former pour aider les patients. Et après quatre évènements, l'association est satisfaite:
Les fans du livre de Stephen King "It" devront oublier l'aspect terrifiant du clown, pour prendre en compte ses bienfaits face à la maladie...
Pourquoi mettre un clown à l'hôpital?
Le centre d'expertise et de ressources pour l'enfance belge qualifiait l'apport des clowns au chevet des patients d' "un art thérapeutique".
Pour Michel Abitbol fondateur du Club de rire international du Québec:
Cette pratique courante aux États-Unis et en Europe pénètre donc nos hôpitaux grâce à l'action d'Esmaani. Un clown n'apportera pas la guérison aux enfants, il apportera le rire, l'émotion, le divertissement. Son but est que l'enfant se sente bien le temps d'un instant, dans un environnement délicat où règne l'impuissance récurrente face à la maladie.
Les actions se concentrent dans les hôpitaux de Charles Nicolle, Bab Saadoun-Bechir Hamza, Salah Azaiz et Jendouba. Cela passe souvent par la simple écoute des malades, la participation au bien-être physique (coiffure, rasage,…), l'aide aux démarches administratives, l’organisation d’évènements (ateliers de peinture ou mini concerts). On retiendra les concerts au Palais Abdellia de La Marsa du 2 au 8 septembre 2013.
Cette fois, l'association a choisi de recruter des clowns et de les former pour aider les patients. Et après quatre évènements, l'association est satisfaite:
"Nous avons pu observer que les clowns sont très bien accueillis par les enfants, leurs familles et le personnel médical dans les services où nous avons proposé l’animation."
Les fans du livre de Stephen King "It" devront oublier l'aspect terrifiant du clown, pour prendre en compte ses bienfaits face à la maladie...
Pourquoi mettre un clown à l'hôpital?
Le centre d'expertise et de ressources pour l'enfance belge qualifiait l'apport des clowns au chevet des patients d' "un art thérapeutique".
Pour Michel Abitbol fondateur du Club de rire international du Québec:
"Le rire, grâce à la respiration saccadée qu’il provoque, fait travailler le diaphragme, et permet ainsi de masser en douceur l’estomac et les intestins. Il active aussi la circulation sanguine et, par l’apport en oxygène qu’il induit, contribue à fortifier le cœur. Mais surtout, en riant, le corps sécrète des endorphines, hormones magiques qui ont le pouvoir de nous apporter naturellement le bien-être!"
Cette pratique courante aux États-Unis et en Europe pénètre donc nos hôpitaux grâce à l'action d'Esmaani. Un clown n'apportera pas la guérison aux enfants, il apportera le rire, l'émotion, le divertissement. Son but est que l'enfant se sente bien le temps d'un instant, dans un environnement délicat où règne l'impuissance récurrente face à la maladie.
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