Le nouveau ministre de l'Économie et des Finances Hakim Ben Hammouda a affirmé mercredi, que l'élaboration d'une loi de finances complémentaire pour l'exercice 2014, revendiquée par plusieurs partis, ne sera pas faite dans l'immédiat
indiquant qu'il "vaut mieux patienter et éviter la précipitation".
Il a précisé à l'agence TAP en marge de la cérémonie de prise de fonction tenue à Dar Dhiafa à Carthage, que le nouveau chef du gouvernement Mehdi Jomâa s'est engagé à élaborer une loi de finances complémentaire notant que "le contexte actuel l'exige".
Il a cependant, indiqué qu'il est préférable de préparer cette loi quand le pays aura réussi à obtenir des crédits et des dons.
M.Ben Hammouda a estimé que la situation économique actuelle est difficile notamment, en ce qui concerne les équilibres macroéconomiques du pays outre la hausse de l'inflation à la lumière d'une économie mondiale en crise.
Pour lui, il s'agit d'exploiter le consensus politique dans le pays, en vue de donner une impulsion à l'économie nationale et de booster l'investissement.
Il a fait savoir que les départements de l'économie et des finances ont été fusionnés conformément, à l'engagement du chef du gouvernement à former une équipe restreinte et à conférer davantage d'efficacité et d'harmonie à l'action économique.
M. Ben Hammouda a souligné que le ministère de l'Économie et de Finances sera un département horizontal chargé gérer les affaires économiques aux cotés des autres ministères concernés à l'instar des ministères de l'Industrie, du Commerce et de l'Agriculture.
Plusieurs organisations professionnelles, patronales et syndicales ainsi que des partis politiques revendiquent l'élaboration d'une loi de finances complémentaire.
Les nouvelles redevances prévues dans le cadre de cette loi ont donné lieu à un large mouvement de protestation dans le pays qui a incité le gouvernement démissionnaire de Ali Laarayedh à suspendre l'application de ces redevances.
indiquant qu'il "vaut mieux patienter et éviter la précipitation".
Il a précisé à l'agence TAP en marge de la cérémonie de prise de fonction tenue à Dar Dhiafa à Carthage, que le nouveau chef du gouvernement Mehdi Jomâa s'est engagé à élaborer une loi de finances complémentaire notant que "le contexte actuel l'exige".
Il a cependant, indiqué qu'il est préférable de préparer cette loi quand le pays aura réussi à obtenir des crédits et des dons.
M.Ben Hammouda a estimé que la situation économique actuelle est difficile notamment, en ce qui concerne les équilibres macroéconomiques du pays outre la hausse de l'inflation à la lumière d'une économie mondiale en crise.
Pour lui, il s'agit d'exploiter le consensus politique dans le pays, en vue de donner une impulsion à l'économie nationale et de booster l'investissement.
Il a fait savoir que les départements de l'économie et des finances ont été fusionnés conformément, à l'engagement du chef du gouvernement à former une équipe restreinte et à conférer davantage d'efficacité et d'harmonie à l'action économique.
M. Ben Hammouda a souligné que le ministère de l'Économie et de Finances sera un département horizontal chargé gérer les affaires économiques aux cotés des autres ministères concernés à l'instar des ministères de l'Industrie, du Commerce et de l'Agriculture.
Plusieurs organisations professionnelles, patronales et syndicales ainsi que des partis politiques revendiquent l'élaboration d'une loi de finances complémentaire.
Les nouvelles redevances prévues dans le cadre de cette loi ont donné lieu à un large mouvement de protestation dans le pays qui a incité le gouvernement démissionnaire de Ali Laarayedh à suspendre l'application de ces redevances.
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