Les premiers ministres du gouvernement Jomâa ont commencer à investir leurs quartiers jeudi 30 janvier 2014. Cinq ministres ont tenu leur discours dans l'après-midi, en compagnie des ministres sortants. Les cérémonies ont été annonciatrices de défis à venir du côté des entrants, et de bons voeux de la part des sortants.
Bons voeux solennels de ceux qui n'ont pas eu "le travail facile"
Ministre des Affaires sociales sortant, Khalil Zaouia a souligné que le travail au sein de ce département qu'il considère comme étant un ministère de souveraineté, lui a permis de mesurer sa grande importance.
Du côté du ministère de l'Education, Salem Labyadh a formé le voeu de voir le processus de réforme et de lutte contre la corruption et le favoritisme au sein du ministère, se poursuivre avec le ministre actuel.
Mongi Marzouk, ancien ministre des Technologies de l'information et de la communication, a mis l'accent sur la place de choix qu'occupe le secteur dans l'approche de développement en Tunisie, soulignant la nécessité de conjuguer les efforts de tous pour garantir la pérennité du secteur.
Le ministre sortant de la Jeunesse et des sports Tarek Dhiab et celui de la culture Mehdi Mabrouk ont tous deux souligné les conditions difficiles auxquelles ils ont du faire face, tout en montrant une certaine satisfaction vis-à-vis de leur bilan.
Les nouveaux se montrent conscients des défis à venir et appellent à des "efforts"
Le nouveau ministre des Affaires sociales Ammar Youmbaii a souligné le caractère délicat et difficile de l'étape actuelle marquée par l'existence de dossiers urgents qu'il faudrait traiter avec célérité.
Le nouveau ministre de l'Education Fathi Jarray a déclaré qu'il veillera à garantir une "gestion souple" des affaires de son département au niveau central, local et régional. Jarray a ajouté qu'en raison de la durée limitée du mandat de son gouvernement, il ne peut pas prétendre à une réforme du secteur, mais qu'il oeuvrera à baliser le terrain pour assurer la continuité du processus de changement global du système éducatif.
Il s'est engagé en faveur d'une approche participative avec toutes les parties dont en particulier les organisations et les syndicats afin de nourrir l'esprit d'équipe et le travail collectif.
Parmi les stratégies et les défis à relever, le ministre de la Culture Mourad Sakli a évoqué la protection des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle et littéraire, la sauvegarde du patrimoine immatériel, l'appui des festivals tunisiens et les grands évènements culturels internationaux, en collaboration avec les cadres de ce Département.
M.Sakli s'est engagé à mettre tout en oeuvre, à travers, notamment la numérisation de l'héritage musical.
Sabeur Bouatay, nouveau ministre de la Jeunesse, des sports, de la femme et de la famille, fait part de sa disposition à oeuvrer de concert avec la secrétaire d'Etat à la femme et à la famille, Naïla Châabane. Il a affirmé qu'il se penchera sur les grands dossiers, en collaboration avec toutes les parties.
Le ministre a également souligné la nécessité de redoubler d'efforts compte tenu de la période difficile.
Le nouveau ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des technologies de l'information et de la communication (TIC), Taoufik Jelassi a quant à lui affirmé que la fusion des secteurs de l'enseignement supérieur et des TIC n'était pas aléatoire. "C'est une démarche adoptée par plusieurs pays avancés en raison du lien étroit unissant les deux secteurs", a-t-il dit
Jelassi a par ailleurs appelé les employés des deux secteurs à travailler en étroite collaboration pour concrétiser les objectifs nationaux et répondre aux exigences de l'étape.
Tous les ministres entrants ont salué, sur des tons plus ou moins emphatiques, le travail accompli par leurs prédécesseurs.
Bons voeux solennels de ceux qui n'ont pas eu "le travail facile"
Ministre des Affaires sociales sortant, Khalil Zaouia a souligné que le travail au sein de ce département qu'il considère comme étant un ministère de souveraineté, lui a permis de mesurer sa grande importance.
Du côté du ministère de l'Education, Salem Labyadh a formé le voeu de voir le processus de réforme et de lutte contre la corruption et le favoritisme au sein du ministère, se poursuivre avec le ministre actuel.
Mongi Marzouk, ancien ministre des Technologies de l'information et de la communication, a mis l'accent sur la place de choix qu'occupe le secteur dans l'approche de développement en Tunisie, soulignant la nécessité de conjuguer les efforts de tous pour garantir la pérennité du secteur.
Le ministre sortant de la Jeunesse et des sports Tarek Dhiab et celui de la culture Mehdi Mabrouk ont tous deux souligné les conditions difficiles auxquelles ils ont du faire face, tout en montrant une certaine satisfaction vis-à-vis de leur bilan.
Les nouveaux se montrent conscients des défis à venir et appellent à des "efforts"
Le nouveau ministre des Affaires sociales Ammar Youmbaii a souligné le caractère délicat et difficile de l'étape actuelle marquée par l'existence de dossiers urgents qu'il faudrait traiter avec célérité.
Le nouveau ministre de l'Education Fathi Jarray a déclaré qu'il veillera à garantir une "gestion souple" des affaires de son département au niveau central, local et régional. Jarray a ajouté qu'en raison de la durée limitée du mandat de son gouvernement, il ne peut pas prétendre à une réforme du secteur, mais qu'il oeuvrera à baliser le terrain pour assurer la continuité du processus de changement global du système éducatif.
Il s'est engagé en faveur d'une approche participative avec toutes les parties dont en particulier les organisations et les syndicats afin de nourrir l'esprit d'équipe et le travail collectif.
Parmi les stratégies et les défis à relever, le ministre de la Culture Mourad Sakli a évoqué la protection des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle et littéraire, la sauvegarde du patrimoine immatériel, l'appui des festivals tunisiens et les grands évènements culturels internationaux, en collaboration avec les cadres de ce Département.
M.Sakli s'est engagé à mettre tout en oeuvre, à travers, notamment la numérisation de l'héritage musical.
Sabeur Bouatay, nouveau ministre de la Jeunesse, des sports, de la femme et de la famille, fait part de sa disposition à oeuvrer de concert avec la secrétaire d'Etat à la femme et à la famille, Naïla Châabane. Il a affirmé qu'il se penchera sur les grands dossiers, en collaboration avec toutes les parties.
Le ministre a également souligné la nécessité de redoubler d'efforts compte tenu de la période difficile.
Le nouveau ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des technologies de l'information et de la communication (TIC), Taoufik Jelassi a quant à lui affirmé que la fusion des secteurs de l'enseignement supérieur et des TIC n'était pas aléatoire. "C'est une démarche adoptée par plusieurs pays avancés en raison du lien étroit unissant les deux secteurs", a-t-il dit
Jelassi a par ailleurs appelé les employés des deux secteurs à travailler en étroite collaboration pour concrétiser les objectifs nationaux et répondre aux exigences de l'étape.
Tous les ministres entrants ont salué, sur des tons plus ou moins emphatiques, le travail accompli par leurs prédécesseurs.
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