Derrière un deal aussi emblématique que celui de Facebook conclu avec WhatsApp, il y a souvent une belle histoire à la clé.
Ici c'est celle de Jan Koum et Brian Acton, deux anciens employés de Yahoo! qui vont se réveiller miliardaires jeudi. Avec 45% de WhatsApp, le premier valorise sa participation à 6,8 milliards de dollars. Pour le second, propriétaire de 15% des parts, c'est 2,3 milliards de dollars.
Dans le cas de Brian Acton, c'est surtout une belle revanche sur la vie. Quand il quitte Yahoo! en 2007 pour fonder WhatsApp, il a besoin d'argent. Et comme n'importe quel ingénieur sentant le vent tourner, il s'adresse à Facebook pour trouver un travail bien rémunéré. Le job qui lui donnera les moyens de développer son projet de messagerie avec Jan Koum. Et qui sait, Facebook pourrait bien intégrer ses idées dans sa propre machine. Un peu comme Google l'a fait pour Gmail: le service de courrier électronique a été créé par un de ces salariés sur son temps libre.
Dans un tweet envoyé le 20 mai 2009, il indique: "Réseauter avec les recruteurs, entrepreneurs capitalistes, jouer à l’ultimate frisbee". Le voilà donc en recherche active.
Le 3 août, c'est la désillusion après un entretien d'embauche à Palo Alto (Californie), siège du réseau social. "Facebook m’a recalé. C’était une belle occasion de rencontrer des gens fantastiques. J’attends avec impatience la prochaine aventure de la vie". Facebook peut donc amèrement regretter de ne pas avoir embauché ce petit génie. Cela lui aurait peut-être évité de sortir un chèque de 16 milliards de dollars (plus 3 milliards supplémentaires sur les 4 ans à venir).
Pour l'anecdote, Brian Acton tenait absolument à aller chez Facebook et nulle part ailleurs. Lors d'un entretien raté précédemment chez Twitter, voici ce qu'il déclarait: "Refusé par le siège de Twitter. Ce n’est pas grave. Ça aurait fait un trop long trajet".
Ici c'est celle de Jan Koum et Brian Acton, deux anciens employés de Yahoo! qui vont se réveiller miliardaires jeudi. Avec 45% de WhatsApp, le premier valorise sa participation à 6,8 milliards de dollars. Pour le second, propriétaire de 15% des parts, c'est 2,3 milliards de dollars.
Dans le cas de Brian Acton, c'est surtout une belle revanche sur la vie. Quand il quitte Yahoo! en 2007 pour fonder WhatsApp, il a besoin d'argent. Et comme n'importe quel ingénieur sentant le vent tourner, il s'adresse à Facebook pour trouver un travail bien rémunéré. Le job qui lui donnera les moyens de développer son projet de messagerie avec Jan Koum. Et qui sait, Facebook pourrait bien intégrer ses idées dans sa propre machine. Un peu comme Google l'a fait pour Gmail: le service de courrier électronique a été créé par un de ces salariés sur son temps libre.
Dans un tweet envoyé le 20 mai 2009, il indique: "Réseauter avec les recruteurs, entrepreneurs capitalistes, jouer à l’ultimate frisbee". Le voilà donc en recherche active.
networking with recruiters, venture capitalists, playing ultimate frisbee
— Brian Acton (@brianacton) 20 Mai 2009
Le 3 août, c'est la désillusion après un entretien d'embauche à Palo Alto (Californie), siège du réseau social. "Facebook m’a recalé. C’était une belle occasion de rencontrer des gens fantastiques. J’attends avec impatience la prochaine aventure de la vie". Facebook peut donc amèrement regretter de ne pas avoir embauché ce petit génie. Cela lui aurait peut-être évité de sortir un chèque de 16 milliards de dollars (plus 3 milliards supplémentaires sur les 4 ans à venir).
Facebook turned me down. It was a great opportunity to connect with some fantastic people. Looking forward to life's next adventure.
— Brian Acton (@brianacton) 3 Août 2009
Pour l'anecdote, Brian Acton tenait absolument à aller chez Facebook et nulle part ailleurs. Lors d'un entretien raté précédemment chez Twitter, voici ce qu'il déclarait: "Refusé par le siège de Twitter. Ce n’est pas grave. Ça aurait fait un trop long trajet".
Got denied by Twitter HQ. That's ok. Would have been a long commute.
— Brian Acton (@brianacton) 23 Mai 2009
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