Houcine Abassi, secrétaire général de l'UGTT et porte-parole du dialogue national a indiqué mercredi peu avant 19h que l'annonce concernant le dialogue national a été une nouvelle fois reportée au samedi 14 décembre à midi.
Abassi a déclaré que les partis politiques avaient échoué à trouver un accord sur le prochain chef du gouvernement. Mais à la demande de ces derniers, les pourparlers se poursuivront jusqu'au 14 décembre.
"Le dialogue national a échoué, mais..."
"Le dialogue national a échoué et notre rôle en tant que quartet de médiation est terminé mais nous laissons aux partis politiques une dernière chance pour parvenir à un consensus. Nous n'irons pas au-delà de cette date. Soit ils trouvent un accord, soit nous annoncerons de manière définitive l'échec du dialogue national et chacun devra assumer ses responsabilités", a menacé le SG de l'UGTT.
"La patience a des limites. Ce sera le jour de l'espoir ultime", a-t-il prévenu.
"C'est l'opposition qui a refusé Jalloul Ayed"
"Il y avait un consensus sur le fait que le choix devait se faire entre Jalloul Ayed et Chawki Tabib et nous espérions encore hier trouver une solution", a affirmé le secrétaire adjoint de l'UGTT Belgacem Ayari, sur les ondes de Mosaïque FM.
"Mais il y eu des évolutions politiques et dans le principe, l'opposition qui a refusé Jalloul Ayed. C'est ce que le Front du salut national a déclaré dans son communiqué", poursuit-il.
Belgacem Ayari a en outre affirmé qu'une dizaine de partis avaient demandé, suite à ces évolutions, le report de la date limite avant l'annonce de la poursuite ou de l'échec du dialogue national.
Lancé le 25 octobre dernier, le dialogue national avait été suspendu le 4 novembre en l'absence de consensus autour de la personnalité chargée de mener la prochaine période transitoire. Certains partis politiques avaient tenté de faire pencher la balance en faveur de leur candidat en opérant une pression médiatique, sans succès. Plusieurs dates ont dès lors été annoncées pour la relance du dialogue, sans qu'elle ne soient respectées. Ainsi, la crise politique déclenchée par l'assassinat du député Mohamed Brahmi perdure, sur fond de crise économique et sécuritaire.
Abassi a déclaré que les partis politiques avaient échoué à trouver un accord sur le prochain chef du gouvernement. Mais à la demande de ces derniers, les pourparlers se poursuivront jusqu'au 14 décembre.
"Le dialogue national a échoué, mais..."
"Le dialogue national a échoué et notre rôle en tant que quartet de médiation est terminé mais nous laissons aux partis politiques une dernière chance pour parvenir à un consensus. Nous n'irons pas au-delà de cette date. Soit ils trouvent un accord, soit nous annoncerons de manière définitive l'échec du dialogue national et chacun devra assumer ses responsabilités", a menacé le SG de l'UGTT.
"La patience a des limites. Ce sera le jour de l'espoir ultime", a-t-il prévenu.
"C'est l'opposition qui a refusé Jalloul Ayed"
"Il y avait un consensus sur le fait que le choix devait se faire entre Jalloul Ayed et Chawki Tabib et nous espérions encore hier trouver une solution", a affirmé le secrétaire adjoint de l'UGTT Belgacem Ayari, sur les ondes de Mosaïque FM.
"Mais il y eu des évolutions politiques et dans le principe, l'opposition qui a refusé Jalloul Ayed. C'est ce que le Front du salut national a déclaré dans son communiqué", poursuit-il.
LIRE: Bataille médiatique autour de Jalloul Ayed... L'opposition se divise et demande le report de l'annonce
Belgacem Ayari a en outre affirmé qu'une dizaine de partis avaient demandé, suite à ces évolutions, le report de la date limite avant l'annonce de la poursuite ou de l'échec du dialogue national.
"Nous avons répondu positivement à cette demande et il se peut qu'il y ait de nouveau noms proposés. Au sein de l'UGTT, nous savons ce nous faisons et ceux qui ne souhaitent pas le succès de la feuille de route devrons assumer leurs responsabilités", a-t-il conclut.
Lancé le 25 octobre dernier, le dialogue national avait été suspendu le 4 novembre en l'absence de consensus autour de la personnalité chargée de mener la prochaine période transitoire. Certains partis politiques avaient tenté de faire pencher la balance en faveur de leur candidat en opérant une pression médiatique, sans succès. Plusieurs dates ont dès lors été annoncées pour la relance du dialogue, sans qu'elle ne soient respectées. Ainsi, la crise politique déclenchée par l'assassinat du député Mohamed Brahmi perdure, sur fond de crise économique et sécuritaire.
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