Samedi 8 mars, lors de la Journée internationale de la Femme, sept femmes ont manifesté entièrement nues devant le musée du Louvre à Paris. Elles se sont présentées comme étant des militantes du monde arabe et musulman.
Munies de drapeaux tunisien, égyptien, iranien, arc-en-ciel et français, elles se sont dévêtues devant l’entrée du musée, avant de marcher sur les rebords des bassins qui jouxtent la pyramide.
Elles ont scandés "Liberté, laïcité, égalité" et sur leur corps, on pouvait lire des slogans tels que "game over", ou "liberté", ainsi que des inscriptions en arabe: "C'est mon honneur".
Parmi elles se trouvait l'égyptienne Alya El Mahdi, et la tunisienne Amina Sboui, ancienne militante des Femen, qui a passé début août deux mois en détention en Tunisie et qui a quitté le groupe féministe qu’elle a accusé à l'époque d’islamophobie.
Installée en France depuis quelques mois, la jeune fille de 19 ans manifeste pour la première fois, entièrement nue. Elle a déclaré : "On est contre la charia, contre le sexisme, contre la lapidation, contre la burqa, contre le voile".
L'action provocatrice d'Amina a encore fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux. Certains n'ont pas apprécié qu'elle brandisse le drapeau tunisien.
Florilège de réactions sur Twitter.
Munies de drapeaux tunisien, égyptien, iranien, arc-en-ciel et français, elles se sont dévêtues devant l’entrée du musée, avant de marcher sur les rebords des bassins qui jouxtent la pyramide.
Elles ont scandés "Liberté, laïcité, égalité" et sur leur corps, on pouvait lire des slogans tels que "game over", ou "liberté", ainsi que des inscriptions en arabe: "C'est mon honneur".
Parmi elles se trouvait l'égyptienne Alya El Mahdi, et la tunisienne Amina Sboui, ancienne militante des Femen, qui a passé début août deux mois en détention en Tunisie et qui a quitté le groupe féministe qu’elle a accusé à l'époque d’islamophobie.
Installée en France depuis quelques mois, la jeune fille de 19 ans manifeste pour la première fois, entièrement nue. Elle a déclaré : "On est contre la charia, contre le sexisme, contre la lapidation, contre la burqa, contre le voile".
L'action provocatrice d'Amina a encore fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux. Certains n'ont pas apprécié qu'elle brandisse le drapeau tunisien.
Florilège de réactions sur Twitter.
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