Une vidéo récemment publiée sur le réseau de partage YouTube imagine, à travers une mise en scène hilarante, ce que donnerait l'option du vote électronique pour l'élection présidentielle algérienne du 17 avril.
Sur fond de dénonciations anticipées de fraude au prochain scrutin, un internaute a réalisé ce petit clip, insinuant que la méthode ne serait pas sécurisée et favoriserait la fraude en faveur du président sortant Abdelaziz Bouteflika.
L'électeur virtuel y est placé devant le choix - simplifié - entre "Bouteflika" et "Autres" et se retrouve face à un logiciel qui refuse manifestement de le laisser voter pour les "autres".
Le clip humoristique s'inscrit dans une vague de protestation satirique sur le net contre la candidature du président sortant.
Régulièrement remis en question pour les risques de fraudes informatiques qui y seraient liées, la vote électronique n'est, en fait, pas officiellement prévu pour l'élection présidentielle de 2014. Moussa Touati, président du parti nationaliste conservateur Front National algérien, s'est fait l'avocat de son introduction.
Sur fond de dénonciations anticipées de fraude au prochain scrutin, un internaute a réalisé ce petit clip, insinuant que la méthode ne serait pas sécurisée et favoriserait la fraude en faveur du président sortant Abdelaziz Bouteflika.
L'électeur virtuel y est placé devant le choix - simplifié - entre "Bouteflika" et "Autres" et se retrouve face à un logiciel qui refuse manifestement de le laisser voter pour les "autres".
Le clip humoristique s'inscrit dans une vague de protestation satirique sur le net contre la candidature du président sortant.
LIRE: L'humour contre le quatrième mandat de Bouteflika
Note: A 0'18'', le logiciel affiche soudainement "Welcome to the Florida State" (Bienvenue à l'Etat de Floride, Etats-Unis). A peine visible, ce "bug" peut-être tout autant lié à une véritable erreur de programmation de l'internaute réalisateur de la vidéo qu'à un clin d'oeil volontaire dénonçant un vote électronique "copié" sur le modèle américain.
Régulièrement remis en question pour les risques de fraudes informatiques qui y seraient liées, la vote électronique n'est, en fait, pas officiellement prévu pour l'élection présidentielle de 2014. Moussa Touati, président du parti nationaliste conservateur Front National algérien, s'est fait l'avocat de son introduction.
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