Selon une information de The Hollywood Reporter, Le Loup de Wall Street est cité dans une plainte déposée par deux producteurs accusant le film réalisé par Martin Scorsese d'avoir été financé par de l'argent sale.
Une partie des fonds utilisés proviendrait de corruption d'agents publics, de vol, ou encore de détournement de fonds publics. Cent millions de dollars versés par Red Granite, la société de production dirigée par Joey McFarland et Riza Aziz (le beau-fils de l'ancien premier ministre malaisien Najib Razak) sont ainsi ici remis en question.
Un comble quand on connaît le scénario du film, mettant en scène les activités frauduleuses de Jordan Belfort, interprété brillamment par Leonardo DiCaprio, un trader corrompu de Wall Street à la fin des années 80...
Pas la première casserole pour le film
Les producteurs américains Brad Krevoy et Steve Stabler, desquels émane la plainte, affirment que "ces fonds mal acquis ont été investis dans Red Granite". Selon eux, "les transactions ont été conçues pour dissimuler la nature, l'emplacement, la source, la propriété ou le contrôle des recettes de ces activités illégales".
Ce n'est pas la première fois que Le Loup de Wall Street défraye la chronique depuis sa sortie en décembre 2013. Ces dernières semaines, un proche du vrai Jordan Belfort a aussi porté plainte contre le film. Andrew Greene, un ancien employé du trader, réclame ainsi 25 millions de dollars de réparation pour la mauvaise image renvoyée par son personnage dans le film.
Christina McDowell, la fille d'un ancien associé de Belfort, a elle écrit une lettre ouverte expliquant que le film était "une tentative imprudente de continuer à prétendre que ce mode de vie n'est qu'un simple divertissement alors que le pays vacille à cause d'autres scandales issus de Wall Street".
Une partie des fonds utilisés proviendrait de corruption d'agents publics, de vol, ou encore de détournement de fonds publics. Cent millions de dollars versés par Red Granite, la société de production dirigée par Joey McFarland et Riza Aziz (le beau-fils de l'ancien premier ministre malaisien Najib Razak) sont ainsi ici remis en question.
Un comble quand on connaît le scénario du film, mettant en scène les activités frauduleuses de Jordan Belfort, interprété brillamment par Leonardo DiCaprio, un trader corrompu de Wall Street à la fin des années 80...
Pas la première casserole pour le film
Les producteurs américains Brad Krevoy et Steve Stabler, desquels émane la plainte, affirment que "ces fonds mal acquis ont été investis dans Red Granite". Selon eux, "les transactions ont été conçues pour dissimuler la nature, l'emplacement, la source, la propriété ou le contrôle des recettes de ces activités illégales".
Ce n'est pas la première fois que Le Loup de Wall Street défraye la chronique depuis sa sortie en décembre 2013. Ces dernières semaines, un proche du vrai Jordan Belfort a aussi porté plainte contre le film. Andrew Greene, un ancien employé du trader, réclame ainsi 25 millions de dollars de réparation pour la mauvaise image renvoyée par son personnage dans le film.
Christina McDowell, la fille d'un ancien associé de Belfort, a elle écrit une lettre ouverte expliquant que le film était "une tentative imprudente de continuer à prétendre que ce mode de vie n'est qu'un simple divertissement alors que le pays vacille à cause d'autres scandales issus de Wall Street".
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