Chaque 14 février, les amoureux du monde entier s’enlacent et s'embrassent et se promettent l'amour éternel. Du monde entier... ou presque.
En Tunisie, c'est l'occasion pour les clubs tunisiens d'organiser leurs soirées "spécial Saint-Valentin" où les couples s'amassent pour "danser" l'amour toute la nuit.
D'autres opteront pour un dîner en tête à tête alors que les plus casaniers préfèreront passer du bon temps à la maison devant un film romantique.
Prendre des risques par amour
Pour ceux qui aiment prendre des risques, la célébration de l'amour pourra se dérouler dans les ruelles sombres sans se faire voir, au risque de tomber sous le coup de l'article 226 bis du code pénal tunisien, lequel stipule que celui "qui porte publiquement atteinte aux bonnes mœurs ou à la morale publique par le geste ou la parole ou gène intentionnellement autrui d'une façon qui porte atteinte à la pudeur, est puni de six mois d'emprisonnement et d'une amende de mille dinars".
Marre de la Saint-Valentin?
À l'occasion, le vice-président d'Ennahdha Abdelfatah Mourrou avait déclaré l'an dernier sur Shemsfm que tous les matins, il débutait une nouvelle histoire d'amour avec sa femme.
À l'instar du président du parti Al Massar Ahmed Brahim, qui a déclaré aujourd'hui au journal Le Maghreb que la Saint-Valentin n'était pas "de nos traditions" et qu'elle n'était que "commerciale", de nombreux Tunisiens ne la célèbrent pas.
C'est pour les plus réticents que le HuffPost Maghreb a fait une sélection de pays où il ne fait pas bon la fêter:
En Tunisie, c'est l'occasion pour les clubs tunisiens d'organiser leurs soirées "spécial Saint-Valentin" où les couples s'amassent pour "danser" l'amour toute la nuit.
D'autres opteront pour un dîner en tête à tête alors que les plus casaniers préfèreront passer du bon temps à la maison devant un film romantique.
Prendre des risques par amour
Pour ceux qui aiment prendre des risques, la célébration de l'amour pourra se dérouler dans les ruelles sombres sans se faire voir, au risque de tomber sous le coup de l'article 226 bis du code pénal tunisien, lequel stipule que celui "qui porte publiquement atteinte aux bonnes mœurs ou à la morale publique par le geste ou la parole ou gène intentionnellement autrui d'une façon qui porte atteinte à la pudeur, est puni de six mois d'emprisonnement et d'une amende de mille dinars".
Marre de la Saint-Valentin?
À l'occasion, le vice-président d'Ennahdha Abdelfatah Mourrou avait déclaré l'an dernier sur Shemsfm que tous les matins, il débutait une nouvelle histoire d'amour avec sa femme.
À l'instar du président du parti Al Massar Ahmed Brahim, qui a déclaré aujourd'hui au journal Le Maghreb que la Saint-Valentin n'était pas "de nos traditions" et qu'elle n'était que "commerciale", de nombreux Tunisiens ne la célèbrent pas.
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